| Historique |
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Underground Projekt est la réunion de deux passionnés de musiques électroniques : Anthony Beauchet, originaire d’Annecy (74), largement influencé par les sons Techno et adeptes des soirées raves old school ; Gilles Fournier, originaire de Colombes (92), baigné par le son parisien house/tekhouse et inconditionnel de la bande FM diffusant de petites perles musicales. |
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En 2004, ils agrègent un groupe d’amis DJ afin que l’union fasse la force pour jouer en soirée et organiser des évènements dans divers lieux parisiens : Café Chéri(e), Thé’Oz, Mixer Bar, Café Bataclan, Trucmush… |
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En 2005, l’association se disperse, les amis s’en vont et Anthony et Gilles se retrouvent seuls. Sans se laisser démonter, ils continuent l’aventure, préférant travailler en duo dans leurs concepts musicaux et dans leur passion respective. C’est ainsi qu’est né Paris Electronik, prolongement journalistique pour rassembler d’autres passionnées autour d’une communauté. |
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Paris Electronik prend son envol et devient partenaire de nombreux acteurs de la scène électronique : Batofar, Nordik Impakt, ElectrOne, Techno +… Nos DJ’s font leur premiers pas dans de grosses scènes parisiennes en warm up aux cotés de DJ’s de renom : Funk D Void, Anton’x, Da Fresh, Shawn Rudiman, Freddy, Marco Asoleda, Tom Parris… |
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En 2006, Underground Projekt revient à ses premières amours et crée l’agence de booking Pheromone Production. Paris Electronik devient résident sur ElectrOne (émission Keep Smiling) et partenaire avec les soirées techno du Rex. |
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Objectifs |
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Booking : nos artistes s’expriment dans les différents styles de l’électronique, allant de la Deep-House au Hardcore, en passant par la Techno et la Drum’n’Bass. L’optimal pour nous est de trouver un lieu à investir régulièrement (une résidence) pour permettre à nos artistes de faire leurs preuves et d’inviter d’autres artistes à venir s’exprimer à leurs cotés. |
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Organisation : nous concevons la fête dans sa forme originelle, à savoir celle de la rave-party. C’est dire ici que nous recherchons des lieux alternatifs, abandonnés, originaux, naturels pour faire fonctionner l’imaginaire de notre public électronique. Nous avons besoin d’un espace pouvant être investi toute la nuit pour permettre à l’Art de prendre forme dans la durée en se donnant à voir et à entendre sous sa pluralité. |
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Promotion : la culture électronique est encore emprunte de stéréotypes négatifs : tantôt perçue comme une musique de drogués, tantôt comme une musique de robots, sans âme. Sous forme d’expositions, de conférences ou de démonstrations, nous recherchons donc des lieux nous permettant de venir à la rencontre d’un public non initié et de lui faire découvrir les différentes facettes de notre univers. |
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